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Deux chasseurs avec leur orignal

Qui sommes-nous ?

À travers leurs multiples voyages et leurs nombreuses aventures, les chasseurs de Born To Hunt partagent leurs histoires et leur passion. Leur mission : la conservation d’un héritage. L’équipe de Born to Hunt célèbre cette année ses 10 ans de tournage

Histoires en pourvoiries

Profiter de la nature, à travers des aventures de chasse et de pêche sur les magnifiques territoires de la belle province ; qui pourrait résister à de telles opportunités ? Comment expliquer l’importance de la Fédération des pourvoiries du Québec pour Born To Hunt ? Nous sommes déjà rendus dans notre 10e année de tournage, et la Fédération a joué un grand rôle dans notre succès. 

À partir de notre patelin dans l’est ontarien, en passant par l’Outaouais, les Laurentides, l’Abitibi-Témiscamingue, le Saguenay–Lac-Saint-Jean, Québec/Charlevoix, le Bas-Saint-Laurent et la Côte-Nord, la Fédération nous a permis de découvrir plusieurs belles régions de la province. Il nous reste à parcourir le Grand Nord et on pourra affirmer avoir exploré les quatre coins de la province. Nous avons vécu des aventures qui resteront gravées à jamais dans nos mémoires et celles-ci sont mises à l’écran grâce au travail exemplaire de notre équipe.

Voici ce que la FPQ a à offrir : plus de 330 pourvoiries, 24 différentes espèces à pêcher, 20 espèces à chasser, etc. Inutile de préciser que chacun va y trouver ce qu’il recherche. Évidemment, les aventures de chasse et de pêche sont intéressantes, mais ce qui m’a marqué davantage, ce sont les précieux moments passés ensemble à se raconter des histoires lors d’un repas entre amis ou autour d’un beau feu de camp.

À nos tout débuts, nous avons visité la Pourvoirie Lac de l’Indienne, où Martin et Danielle nous ont accueillis à bras ouverts. Je garde d’excellents souvenirs de ces gens rencontrés sur place, mais surtout des superbes chansons interprétées par un père et son fils. Comment aurais-je pu deviner que j’étais pour être diverti par nul autre que le chanteur du groupe franco-ontarien Les Rats d’Swompe ? Il ne faut pas non plus oublier le chapeau du chasseur chanceux fait d’une peau de raton laveur, récolté sur leur ligne de trappe !

Toujours dans l’Outaouais, il ne faut pas passer sous silence les nombreuses compétitions au Domaine Shannon. Je dois préciser que Sylvain n’est pas de taille ! C'est garanti, c'est moi qui ai attrapé le plus gros poisson ! Et parlons maintenant du Pavillon Richer, où mon p’tit frère Éric a récolté un petit ours… de 451 lb, après avoir laissé passer trois ours de plus de 300 lb.

À la Pourvoirie du Lac Suzie en Abitibi-Témiscamingue, nous avons fait une chasse père et fils, où nous étions les invités de Stéphane Monette. Les frères Marion ont su tirer l’épingle de leur jeu en réussissant à déjouer un magnifique orignal. Imaginez un caméraman qui exprime encore plus d’émotions que le chasseur lui-même !

Que dire de la Pourvoirie Poulin de Courval, située dans les Monts-Valin, où Éric Lacelle a laissé passer un monstre, soit son plus gros orignal à vie… À ce jour, il en fait encore des cauchemars !

Il y a aussi la région des Laurentides qui nous a accueillis à plusieurs reprises. Que ce soit à la Pourvoirie Scott, au Club Notawissi, à laPourvoirie Jodoin, la Pourvoirie Mekoos, la Pourvoirie Le Triolet, la Pourvoirie Cécaurel ou la Pourvoirie des 100 Lacs Sud, chacune de ces belles destinations a été à la hauteur de nos attentes. Par exemple, lorsque Miguel a initié une nouvelle chasseuse à l’ours au 100 Lacs Sud, cette dernière était tout simplement éblouie lorsqu’elle a réussi à récolter son premier gibier. Cela démontre à quel point il est essentiel de transmettre notre passion de la chasse et de la pêche autour de nous.

Finalement, il restera toujours une histoire invraisemblable qui nous a vraiment tous marqués. Sur la Côte-Nord, à la Pourvoirie des Bouleaux Blancs, le guide et propriétaire Éric nous a émerveillés. Il a réussi à toucher différents orignaux de ses mains nues, et cela à quatre différentes reprises. On aurait dit qu’il faisait partie de la famille de cet animal, que l’on considère comme étant le roi de nos forêts.

Ce sont quelques-unes des petites anecdotes qui survolent notre parcours. Grâce au travail et à la collaboration entre la FPQ et les pourvoiries, Born to Hunt a vécu de riches expériences de chasse et de pêche à travers le Québec. Nous vous encourageons fortement à leur faire confiance et à visiter ces pourvoiries afin de créer vos propres souvenirs de plein air.

 

Rédigé par Miguel Belisle de Born to Hunt